On le voit tous les jours chez Kikar : beaucoup d’annonceurs continuent de collaborer avec une agence qui les satisfait à 60%. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur que changer d’agence soit pire.
Et c’est normal.
Collaborer avec une nouvelle agence, ce n’est pas une, mais deux prises de risque.
1. Le brief : un saut dans l’inconnu
On envoie un brief à 2 ou 3 agences, on attend 2 ou 3 semaines, et on croise les doigts. Est-ce qu’elles vont comprendre notre besoin ? Trouver la bonne idée ? Rentrer dans le budget ?
➔ On ne peut pas le savoir à l’avance. Et c’est angoissant.
2. La sélection : une belle reco ne suffit pas
Admettons qu’une agence fasse une bonne présentation. Est-ce que ça garantit que la collaboration sera fluide, efficace, sereine ?
Pas forcément. Un bon slide, ce n’est pas un bon suivi. Et c’est souvent là que les mauvaises surprises commencent.
Résultat : on reste avec une agence moyenne, pour éviter de prendre un double risque.
Ce que Kikar change dans l’équation
Chez Kikar, on sécurise ces deux moments.
- Avant la présentation : On a fait matcher plus de 1000 agences en 4 ans. On les a vues répondre à des dizaines de briefs. On sait lesquelles comprennent, livrent, respectent les contraintes.
- Après la sélection : On parle avec les marques. On collecte les retours d’expérience. On sait quelles agences tiennent leurs promesses — et lesquelles non.
En clair : on ne se base pas sur des promesses, mais sur des preuves.
💡 Conseil : Si vous hésitez à changer d’agence, posez-vous une seule question : est-ce que vous méritez mieux qu’un “ça ira” ?
Changer d’agence, c’est risqué. Mais avec la bonne méthode, ce n’est plus un saut dans le vide. C’est une opportunité.
Et cette méthode, chez Kikar on la met en œuvre pour chaque annonceur qu’on accompagne.
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